J’avais envie de vous parler de ce livre, l’Art de la simplicité, qui est pour moi une véritable bible. Non sans rire, je l’ai lu au moins cinq fois en entier. Et un bon paquet de fois par petits bouts. D’ailleurs, il est toujours sur ma table de chevet pourtant toute petite.
Alors pourquoi je l’adore tellement ce bouquin ?
En fait, tout simplement, parce qu’il m’apaise. C’est le premier livre que j’ai lu il y a maintenant plus de 10 ans qui m’a donné envie de changer mon quotidien en mieux. Et cela dans tous les secteurs de la vie. C’est un livre qui donne envie de beauté, d’une branche fleurie dans un vase, d’une chemise en lin parfaite, d’une tasse de thé fumant bue alors que ma chanson préférée passe, d’un moment en tête-à-tête avec soi juste parfait. Un genre de publicité réussie pour une vie plus simple.
Dominique Loreau a vécu longtemps au Japon. Et elle s’est inspirée du mode de vie des Japonais. Elle en a tiré quelques leçons envie qu’elle partage volontiers avec nous. Par exemple l’habitude de manger des choses simples dans des petits contenants. Le choix d’alléger son mobilier pour que notre Home Sweet Home respire. Le choix de quelques bons produits de beauté simples et efficaces qu’on emmène partout. Le choix de travailler moins pour profiter de ce qu’on aime davantage (OK, ça me semble pas très aux japonais mais passons).
Sur le message, j’étais d’accord depuis longtemps. Mais ce qui m’a bluffé, c’est plutôt le fait que tout d’un coup cette proposition soit désirable. Dominique Loreau montre à quel point le minimalisme est sexy et ça, ça fait du bien.
Du coup, ça m’a fait prendre conscience que moins c’est mieux.
Au fil des années et des lectures, j’ai appris à désencombrer mon intérieur et bien avant la méthode Kondo (on vous fera peut-être un petit topo aussi là-dessus parce que quand même ça fait du bien aussi). J’ai simplifié mes routine beauté. Et ma peau s’en est mieux portée. J’ai allégé ma garde-robe, pour avoir le plaisir de n’avoir que des choses que j’aime porter. À la clé, beaucoup de sérénité.
Alors bien sûr, la simplicité c’est un travail de tous les jours. Dans notre monde plein de sollicitations, et parfois des sympas (rhoooo les soldes, rhoooo le ciné, rhoooo les amis, rhoooo la nouvelle tendance déco), il n’est pas toujours facile de renoncer et de choisir -ce qui veut parfois dire la même chose-. Donc régulièrement, quand je sature, que je me sens débordée, je relis L’art de la simplicité. Et je recommence à faire le tri de ce qui est important dans ma vie et de ce qui l’est moins. Tiens, je t’en parlais ici aussi : « Prendre la mesure de sa vie« .
Voilà pourquoi je vous recommande vivement la lecture de ce petit livre.
J’espère qu’il vous fera autant d’usage qu’à moi.
Et que vous aussi, vous réussirez à faire le tri de ce qui est important avec davantage de clarté.
Et à mettre plus de beauté dans vos vies.
Je « Superbanane » avec Andréa depuis le tout début du projet et :
J’anime des ateliers de cuisine saine et maxi gourmande (je suis formée à la CRUsine Académie)
Co-Auteure avec Andréa de « Mon cahier Yoga du ventre » aux Editions Solar
Convaincue par le bio dans l’assiette et dans la salle de bains
Yogi accro (formation de prof en cours)
Parle couramment le second degré